Avertissement : je me permets d'inviter les visiteurs de ce blog à prendre conscience que des liens parasites, à caractère publicitaire, peuvent apparaître sur ce site comme résultat d'un piratage, alors même que ces liens n'apparaissent pas sur le code html, comme signe que les pirates n'ont pas accès à mon espace personnel. Comment cela est-il possible, je l'ignore... Google aurait-il conclu des accords secrets avec des publicitaires sans en avertir ses abonnés ????
Soit dit en passant, commençons par féliciter chaleureusement les internautes qui fréquentent régulièrement ce blog bien plus souvent que je ne le fais moi-même (la dernière fois, c'était en mars 2013 !), moi qui admire (!?) tous ces gens qui trouvent le temps d'écrire tous les jours sur Internet et les réseaux sociaux. À croire que ce qu'ils écrivent a si peu de consistance qu'ils sont obligés d'en rajouter une couche dès le lendemain ! Pour ma part, j'ai la faiblesse de croire que ce que j'écris a suffisamment de consistance pour être encore lisible des mois plus tard.
Soit dit en passant, commençons par féliciter chaleureusement les internautes qui fréquentent régulièrement ce blog bien plus souvent que je ne le fais moi-même (la dernière fois, c'était en mars 2013 !), moi qui admire (!?) tous ces gens qui trouvent le temps d'écrire tous les jours sur Internet et les réseaux sociaux. À croire que ce qu'ils écrivent a si peu de consistance qu'ils sont obligés d'en rajouter une couche dès le lendemain ! Pour ma part, j'ai la faiblesse de croire que ce que j'écris a suffisamment de consistance pour être encore lisible des mois plus tard.
À titre d'illustration, nous sommes, aujourd'hui, le 14 juillet 2013, jour de la fête nationale française, et mon dernier "post" était dédié à Karim Benzema, qui aurait commis le crime de ne pas chanter l'hymne national français lors des matches de l'équipe de France de football. Il me semble qu'après avoir lu mon dernier texte, daté de mars 2013, plus personne n'osera jamais reprocher quoi que ce soit à Benzema, lequel, en ne chantant pas l'hymne national français, se contente d'imiter le président de la République française en personne qui, lui non plus, ne chante pas l'hymne national !
En ce 14 juillet 2013, soit quelques jours avant une fameuse étape de montagne sur le Tour de France, je me suis fendu d'un "petit courrier" adressé à Madame la Ministre (française) chargée de la Jeunesse et des Sports, courrier renvoyant à deux autres courriers adressés, déjà, au ministre en exercice chargé de la Jeunesse et des Sports.
Je commencerai par évoquer le plus récent des deux courriers, daté de ... 2010 et adressé à Madame Rama Yade, alors ministre française de la Jeunesse et des Sports. Pour bien comprendre le problème, imaginez la cour de récréation d'un important collège/lycée de la banlieue parisienne, autour du mois de mai, soit au début du printemps : les élèves tombent les manteaux et parkas et sortent les T-shirts. Et c'est là qu'on découvre sous les tenues légères des bourrelets (les Américains disent "muffin tops"), des ventres bedonnants, voire de l'embonpoint, les filles étant souvent plus atteintes par le surpoids que les garçons.
Voilà ce qu'en dit un responsable politique parisien, qui se trouve être également médecin :
"Dans l'est parisien et à la périphérie, 20 % des enfants sont atteints de surpoids ou d'obésité."
Entre nous, j'aimerais bien savoir d'où notre élu tire ce chiffre. Mais n'en déplaise à notre médecin parisien, je m'inscris en faux contre cette statistique, laquelle, à l'instar des mauvaises statistiques, mêle 'obésité' et 'surpoids' sous un même nombre, ce qui ne rime à rien, quand on sait que l'obésité n'est que la partie visible de l'iceberg. Le fait est que la fréquence du surpoids est bien plus importante que celle de l'obésité, et ce, d'autant plus que les hectogrammes en trop échappent souvent tant à la sagacité des parents qu'à celle des intervenants en milieu scolaire. C'est dire tout l'intérêt d'une observation fine des élèves rassemblés dans une cour de récréation, mais aussi celui de tous les constats qu'on peut faire dans la rue, les aires de jeu, etc. Pour ma part, j'estime qu'en région parisienne, au moins 40 % des adolescentes affichent du surpoids, le chiffre étant moitié moins élevé chez les garçons, et à cela, il y a des raisons objectives que j'évoquerai peut-être ailleurs.
Entre nous, j'aimerais bien savoir d'où notre élu tire ce chiffre. Mais n'en déplaise à notre médecin parisien, je m'inscris en faux contre cette statistique, laquelle, à l'instar des mauvaises statistiques, mêle 'obésité' et 'surpoids' sous un même nombre, ce qui ne rime à rien, quand on sait que l'obésité n'est que la partie visible de l'iceberg. Le fait est que la fréquence du surpoids est bien plus importante que celle de l'obésité, et ce, d'autant plus que les hectogrammes en trop échappent souvent tant à la sagacité des parents qu'à celle des intervenants en milieu scolaire. C'est dire tout l'intérêt d'une observation fine des élèves rassemblés dans une cour de récréation, mais aussi celui de tous les constats qu'on peut faire dans la rue, les aires de jeu, etc. Pour ma part, j'estime qu'en région parisienne, au moins 40 % des adolescentes affichent du surpoids, le chiffre étant moitié moins élevé chez les garçons, et à cela, il y a des raisons objectives que j'évoquerai peut-être ailleurs.
Voilà qui m'a inspiré le courrier qui suit à la ministre déjà évoquée. Ai-je besoin de préciser que mon courrier est resté sans suite, la ministre-potiche en question ayant probablement eu d'autres chats à fouetter ? Je sais que, depuis,
toute honte bue et démagogie obligeant, notre ex-potiche à la Jeunesse et aux Sport s'est fendue d'un opuscule destiné à la Jeunesse, que les principaux dédicataires se sont probablement empressés de mettre à la poubelle !
(...)
Madame,
Pour tout vous dire, je me prends parfois à rêver que je serais ministre en charge de la Jeunesse et des Sports, et que, profitant de la rentrée scolaire, j'organiserais, par exemple, de concert avec mon collègue de l'Education Nationale, une "journée IMC", impliquant au moins un millier d'établissements scolaires renfermant chacun autour de 1000 élèves, soit autour d'un million d'élèves au total (DOM-TOM inclus), dont on mesurerait l'Indice de Masse Corporelle (soit par l'usage de balances à impédance-mètre, soit, plus simplement, par la mesure du tour de poignet, ce qui ne devrait pas prendre plus de deux minutes par élève. (...) Il se trouve que je ne suis pas Ministre de la Jeunesse et des Sports...
Le deuxième courrier, en réalité le premier dans l'ordre chronologique, était déjà destiné au ministre de la Jeunesse et des Sports de l'époque, qui se trouvait être kinésithérapeute de formation et détenteur de deux médailles olympiques en escrime. Ce courrier avait été adressé au ministre en question peu avant l'étape de l'Alpe d'Huez sur le Tour de France. Il se trouve que l'ancienneté de ce courrier par rapport à ce blog ne me permettra pas de l'afficher ici. Sachez simplement que j'y invitais le ministre à faire procéder à une petite enquête d'ordre épidémiologique, à savoir la mesure de la "qualité de l'air" régnant sur cette fameuse étape de montagne.
J'ai de nouveau évoqué la question sur ce blog en août 2012.
Mais j'aimerais d'abord vous (re)parler de Yohan Diniz.
Yohan Diniz, vous savez, la chiffe molle qu'on a vue se prendre les pieds dans le tapis il y a un an, lors du 50 km marche des jeux de Londres. J'avoue qu'en le voyant cheminer tout contre les barrières métalliques le séparant du public, j'ai pensé : "Non mais, il est fou, il va se prendre les pieds dans les barrières !".
En réalité, il a fait pire.
Le problème est qu'à ce jour, je suis persuadé que personne, ni Diniz, ni son staff technique, ni aucun médecin ou spécialiste de physiologie sportive n'a compris les raisons du soudain coup de pompe qui s'est emparé de notre marcheur ce jour-là. Enfin, je veux parler des "spécialistes" qui ne lisent pas mon blog.
Parce que les visiteurs de ce blog savent parfaitement pourquoi Diniz s'est planté !
Question : mais à quoi peuvent bien servir les médecins du sport, monsieur de Mondenard (1), l'INSEP ???
À suivre...
(1) Jean-Pierre de Mondenard est un médecin du sport français, connu pour ses nombreuses interventions médiatiques à propos du dopage.
Nota Bene : j'évoquais plus haut les raisons qui pourraient expliquer que le surpoids touche bien plus souvent les filles que les garçons, en tout cas en milieu populaire. Une des explications les plus probables, je l'ai tous les jours sous les yeux, en contrebas de mon domicile.
Printemps, automne, hiver. Les images qui précèdent sont celles d'une aire de jeu comme il en existe des milliers dans les quartiers populaires tout autour de - voire dans - Paris. Les jours fériés ainsi qu'après l'école, on voit des gamins - toujours des garçons - passer ici de nombreuses heures, voire des journées entières, ne s'interrompant qu'aux heures de repas, ce qui, au bout du compte, se traduit par des centaines voire milliers de calories dépensées. Et comme je le constate chaque jour, ces garçons sont parfaitement minces.
Moralité : il faudrait peut-être insister pour que ces aires d'activités physiques ne soient pas monopolisées par les seuls garçons, ou alors en aménager d'autres qui soient réservées aux seules filles !
Ça tombe bien : l'autre jour, ils étaient trois sur l'aire de jeux, dont une fillette. Cette fois, armé d'un zoom, j'ai pu faire une meilleure photo. En regardant bien l'image, on voit que les garçons sont sensiblement plus minces que la demoiselle, pour un âge visiblement équivalent. Je ne saurais, donc, trop encourager cette charmante demoiselle, durant ses heures de loisirs, à aller se frotter plus souvent à ses petits camarades mâles si elle veut afficher la même forme physique qu'eux !
Mais j'aimerais d'abord vous (re)parler de Yohan Diniz.
Yohan Diniz, vous savez, la chiffe molle qu'on a vue se prendre les pieds dans le tapis il y a un an, lors du 50 km marche des jeux de Londres. J'avoue qu'en le voyant cheminer tout contre les barrières métalliques le séparant du public, j'ai pensé : "Non mais, il est fou, il va se prendre les pieds dans les barrières !".
En réalité, il a fait pire.
Le problème est qu'à ce jour, je suis persuadé que personne, ni Diniz, ni son staff technique, ni aucun médecin ou spécialiste de physiologie sportive n'a compris les raisons du soudain coup de pompe qui s'est emparé de notre marcheur ce jour-là. Enfin, je veux parler des "spécialistes" qui ne lisent pas mon blog.
Parce que les visiteurs de ce blog savent parfaitement pourquoi Diniz s'est planté !
Question : mais à quoi peuvent bien servir les médecins du sport, monsieur de Mondenard (1), l'INSEP ???
À suivre...
(1) Jean-Pierre de Mondenard est un médecin du sport français, connu pour ses nombreuses interventions médiatiques à propos du dopage.
Nota Bene : j'évoquais plus haut les raisons qui pourraient expliquer que le surpoids touche bien plus souvent les filles que les garçons, en tout cas en milieu populaire. Une des explications les plus probables, je l'ai tous les jours sous les yeux, en contrebas de mon domicile.
Printemps, automne, hiver. Les images qui précèdent sont celles d'une aire de jeu comme il en existe des milliers dans les quartiers populaires tout autour de - voire dans - Paris. Les jours fériés ainsi qu'après l'école, on voit des gamins - toujours des garçons - passer ici de nombreuses heures, voire des journées entières, ne s'interrompant qu'aux heures de repas, ce qui, au bout du compte, se traduit par des centaines voire milliers de calories dépensées. Et comme je le constate chaque jour, ces garçons sont parfaitement minces.
Moralité : il faudrait peut-être insister pour que ces aires d'activités physiques ne soient pas monopolisées par les seuls garçons, ou alors en aménager d'autres qui soient réservées aux seules filles !
Ça tombe bien : l'autre jour, ils étaient trois sur l'aire de jeux, dont une fillette. Cette fois, armé d'un zoom, j'ai pu faire une meilleure photo. En regardant bien l'image, on voit que les garçons sont sensiblement plus minces que la demoiselle, pour un âge visiblement équivalent. Je ne saurais, donc, trop encourager cette charmante demoiselle, durant ses heures de loisirs, à aller se frotter plus souvent à ses petits camarades mâles si elle veut afficher la même forme physique qu'eux !