Quoi qu'en pensent les oiseaux de mauvais augure, les sportifs, et notamment les athlètes de haut niveau, restent des héros dans le cœur des gens, et c'est particulièrement vrai du cyclisme, dont on aurait pu penser qu'il aurait dû couler depuis longtemps, avec toutes ces affaires de "dopage".
Eh ben, c'est tout le contraire qui se produit, et à cela, il y a des tas de raisons !
À propos, vous connaissez la nouvelle ? Il paraît que la F.F.C. (Fédération Française de Cyclisme) souhaite "geler" les résultats du Tour de France en laissant un "blanc" sur le nom du vainqueur entre 1999 et 2005, ce qui reviendrait à recourir à une technique bien stalinienne que j'ai déjà évoquée ailleurs...
Et pourquoi font-ils cette proposition extravagante, à la FFC ? Ben, parce qu'ils ne savent pas trop si les coureurs arrivés deuxième, troisième, quatrième... ne risquent pas de poser quelques problèmes eux aussi !
Vous savez quoi ? Je suis mort de rire !
Au point où on en est, pourquoi ne pas effacer complètement ces sept Tours de France ? On dira qu'entre 1999 et 2005, il n'y a pas eu de Tour de France !
Non mais, franchement, vous n'êtes pas mort de rire ?
Parce qu'il y a autre chose. Vous le reconnaissez ?
Lui, c'est le Grand Jacques, Maître Jacques, ce héros bien français.
Lance Armstrong n'a jamais avoué s'être dopé, mais Anquetil, lui, et c'est un secret de Polichinelle, aurait avoué en riant, en petit comité, que sur ses fesses, il n'y aurait plus un centimètre carré de libre, tant il y avait des traces de "piquouzes" !
Question à mille balles : est-ce que les Tartuffes de la Fédération Française de Cyclisme envisagent aussi de "geler" les victoires de Jacques Anquetil sur le Tour de France ?
À propos, vous connaissez la nouvelle ? Il paraît que la F.F.C. (Fédération Française de Cyclisme) souhaite "geler" les résultats du Tour de France en laissant un "blanc" sur le nom du vainqueur entre 1999 et 2005, ce qui reviendrait à recourir à une technique bien stalinienne que j'ai déjà évoquée ailleurs...
Et pourquoi font-ils cette proposition extravagante, à la FFC ? Ben, parce qu'ils ne savent pas trop si les coureurs arrivés deuxième, troisième, quatrième... ne risquent pas de poser quelques problèmes eux aussi !
Vous savez quoi ? Je suis mort de rire !
Au point où on en est, pourquoi ne pas effacer complètement ces sept Tours de France ? On dira qu'entre 1999 et 2005, il n'y a pas eu de Tour de France !
Non mais, franchement, vous n'êtes pas mort de rire ?
Parce qu'il y a autre chose. Vous le reconnaissez ?
Lance Armstrong n'a jamais avoué s'être dopé, mais Anquetil, lui, et c'est un secret de Polichinelle, aurait avoué en riant, en petit comité, que sur ses fesses, il n'y aurait plus un centimètre carré de libre, tant il y avait des traces de "piquouzes" !
Question à mille balles : est-ce que les Tartuffes de la Fédération Française de Cyclisme envisagent aussi de "geler" les victoires de Jacques Anquetil sur le Tour de France ?
Retour sur les J.O. de Londres.
Vous savez quoi ? Johan Diniz est une chiffe molle !
Et dire qu'il avait déjà loupé les jeux de Pékin, à la stupéfaction générale ! Mais mon opinion est que Diniz n'est pas seulement une petite cylindrée, mais surtout un gros prétentieux qui s'obstine à marcher sur 50 km alors que les 20 km lui conviendraient probablement mieux. Et comme il est très mal entouré, il ne s'est toujours trouvé personne pour lui expliquer pourquoi il vient de louper deux J.O. d'affilée.
Et pourtant, l'explication de son dernier échec londonien est limpide, pour qui sait lire des images, comme celle qui suit.
On aperçoit Diniz comme indiqué par la flèche rouge. Alors, vous avez compris ? Non ?
D'abord, considérons la piste : autour de 3,5 mètres sur un parcours qui serpente à travers les rues de Londres, ce qui est normal si l'on ne veut pas avoir à mobiliser trop de superviseurs sur le parcours. Et comme on le voit à la droite de l'image, les plots violets délimitent la piste dans le sens opposé.
Question : pourquoi diable les marcheurs, et surtout Diniz, s'échinent-ils à marcher le long de la corde droite, si dans quelques décamètres, ils doivent emprunter le sens inverse, ce qui va les obliger à se déporter vers la gauche ? De même, pourquoi s'échiner à longer la corde à gauche si, dans quelques hectomètres, on doit tourner à droite ? Le plus judicieux ne serait-il pas de marcher carrément au centre de la piste ? Mais ce n'est pas tout !
Comme on peut le voir sur l'image ci-dessus, Diniz marche en rasant littéralement la rambarde, ce qui va conduire à la catastrophe prévisible. Et pour cause ! Regardez bien l'image : Diniz se trouve à à peine 50 centimètres des spectateurs du premier rang, donc, de leurs narines. Et des spectateurs, il y en a des centaines de milliers amassés tout au long du parcours ; ça en fait du CO2 expiré !
Vous avez lu le commentaire du journaliste ? ... la bouche ouverte, comme asphyxié, il s'est versé plusieurs bouteilles d'eau sur la tête...
Mon explication : Diniz a dû traverser un petit nuage de CO2 dû à la respiration des spectateurs, d'où une sensation subite d'asphyxie qui explique tout le reste : il perd toute lucidité, trébuche, se fracasse par terre, se relève hébété sans pouvoir reprendre ses esprits, malgré les rasades d'eau qu'il se verse sur la tête, puis les gorgées d'eau qu'il va avaler hors de la zone de ravitaillement. Bref, une cascade de catastrophes dues à un manque subit d'oxygène, comme ce que peuvent subir les coureurs du Tour de France dans l'Alpe d'Huez, au milieu de ce boyau de spectateurs que j'évoquais tantôt, ou dans le sillage d'un véhicule accompagnateur libérant des vapeurs toxiques sur son passage.
Et là où l'on voit bien que Diniz s'est préparé comme un manche, c'est qu'il n'a visiblement pas compris combien est grande la différence entre l'entraînement et la compétition : s'entraîner à la marche, en pleine nature, ça veut dire travailler au grand air, parmi les arbres et les oiseaux. Rien à voir avec l'air confiné de la ville, qu'elle s'appelle Londres, Athènes ou Pékin : l'air n'y a pas la même qualité que dans la nature, c'est évident.
Et dire que Diniz a un entraîneur, qui aurait pu le prévenir d'un "ne colle pas trop aux barrières ; tu serais trop près des gaz d'échappement du public !". Et dire que la France compte un institut spécialisé dans l'étude de la performance sportive : l'INSEP !
Il reste à espérer qu'un des visiteurs de ce blog connaît Johan Diniz et va lui expliquer...
Le CO2 : l'ennemi du sportif !
Le CO2, mais aussi le bitume. Quelques images sans paroles...
Vous savez quoi ? Johan Diniz est une chiffe molle !
Et dire qu'il avait déjà loupé les jeux de Pékin, à la stupéfaction générale ! Mais mon opinion est que Diniz n'est pas seulement une petite cylindrée, mais surtout un gros prétentieux qui s'obstine à marcher sur 50 km alors que les 20 km lui conviendraient probablement mieux. Et comme il est très mal entouré, il ne s'est toujours trouvé personne pour lui expliquer pourquoi il vient de louper deux J.O. d'affilée.
Et pourtant, l'explication de son dernier échec londonien est limpide, pour qui sait lire des images, comme celle qui suit.
On aperçoit Diniz comme indiqué par la flèche rouge. Alors, vous avez compris ? Non ?
D'abord, considérons la piste : autour de 3,5 mètres sur un parcours qui serpente à travers les rues de Londres, ce qui est normal si l'on ne veut pas avoir à mobiliser trop de superviseurs sur le parcours. Et comme on le voit à la droite de l'image, les plots violets délimitent la piste dans le sens opposé.
Question : pourquoi diable les marcheurs, et surtout Diniz, s'échinent-ils à marcher le long de la corde droite, si dans quelques décamètres, ils doivent emprunter le sens inverse, ce qui va les obliger à se déporter vers la gauche ? De même, pourquoi s'échiner à longer la corde à gauche si, dans quelques hectomètres, on doit tourner à droite ? Le plus judicieux ne serait-il pas de marcher carrément au centre de la piste ? Mais ce n'est pas tout !
Comme on peut le voir sur l'image ci-dessus, Diniz marche en rasant littéralement la rambarde, ce qui va conduire à la catastrophe prévisible. Et pour cause ! Regardez bien l'image : Diniz se trouve à à peine 50 centimètres des spectateurs du premier rang, donc, de leurs narines. Et des spectateurs, il y en a des centaines de milliers amassés tout au long du parcours ; ça en fait du CO2 expiré !
Vous avez lu le commentaire du journaliste ? ... la bouche ouverte, comme asphyxié, il s'est versé plusieurs bouteilles d'eau sur la tête...
Mon explication : Diniz a dû traverser un petit nuage de CO2 dû à la respiration des spectateurs, d'où une sensation subite d'asphyxie qui explique tout le reste : il perd toute lucidité, trébuche, se fracasse par terre, se relève hébété sans pouvoir reprendre ses esprits, malgré les rasades d'eau qu'il se verse sur la tête, puis les gorgées d'eau qu'il va avaler hors de la zone de ravitaillement. Bref, une cascade de catastrophes dues à un manque subit d'oxygène, comme ce que peuvent subir les coureurs du Tour de France dans l'Alpe d'Huez, au milieu de ce boyau de spectateurs que j'évoquais tantôt, ou dans le sillage d'un véhicule accompagnateur libérant des vapeurs toxiques sur son passage.
Et là où l'on voit bien que Diniz s'est préparé comme un manche, c'est qu'il n'a visiblement pas compris combien est grande la différence entre l'entraînement et la compétition : s'entraîner à la marche, en pleine nature, ça veut dire travailler au grand air, parmi les arbres et les oiseaux. Rien à voir avec l'air confiné de la ville, qu'elle s'appelle Londres, Athènes ou Pékin : l'air n'y a pas la même qualité que dans la nature, c'est évident.
Et dire que Diniz a un entraîneur, qui aurait pu le prévenir d'un "ne colle pas trop aux barrières ; tu serais trop près des gaz d'échappement du public !". Et dire que la France compte un institut spécialisé dans l'étude de la performance sportive : l'INSEP !
Il reste à espérer qu'un des visiteurs de ce blog connaît Johan Diniz et va lui expliquer...
Le CO2 : l'ennemi du sportif !
Le CO2, mais aussi le bitume. Quelques images sans paroles...